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Ministère de la Jeunesse et de la Promotion de l’Entrepreneuriat des Jeunes

Jeunes issus de milieux défavorisés : Une centaine voient leur employabilité facilitée par le FAFPA

Le Ministre de la Jeunesse, de la Promotion de l'entrepreneuriat et de l'Emploi, Salifo Tiemtoré (au milieu)

Actualités

(Bobo-Dioulasso, 12 mars 2021) - Le Ministre de la Jeunesse, de la Promotion de l’entrepreneuriat et de l’Emploi, Salifo Tiemtoré, a présidé ce vendredi à Sya, la cérémonie de clôture des sessions de formation réalisées au profit d’une centaine de jeunes issus de milieux défavorisés de la région des Hauts-Bassins.

Initiée par le Fonds d’appui à la formation professionnelle et à l’apprentissage (FAFPA), cette série de formations se veut une mesure d’accompagnement véritable des jeunes pour un changement de vision, de comportement et surtout pour prouver que la formation professionnelle prend en compte désormais toutes les couches sociales.

 

Ainsi, de 2019 à 2020, 324 bourses de formations modulaires qualifiantes de courtes durées (45 jours) offertes par le FAFPA ont permis à des jeunes hommes et femmes issus de milieux peu nantis d’apprendre des métiers dans divers domaines.

Pour la cérémonie de ce jour par exemple, il y avait 25 jeunes qui ont été formés en électricité bâtiment (y compris énergie solaire), 09 en installation d’antenne parabolique et de caméra de surveillance, 10 en entretien et réparation de téléphones (portables, IPad, IPhone, tablettes), 16 en maintenance informatique, 10 en entretien de courant de climatiseurs, 10 en fabrication de couveuses électriques, 10 en aviculture et 10 en carrelage et pavage.

Les bénéficiaires
Le Représentant des bénéficiaires
Le Président du Conseil National de la Jeunesse du Burkina Faso
Le Ministre de la Jeunesse, de la Promotion de l'Entrepreneuriat et de l'Emploi, Monsieur Salifo Tiemtoré
Le Ministre Tiemtoré en remise de kit
Le Ministre Tiemtoré prodigue des conseils aux Etudiants boursiers du CFPI-B.

Dans son adresse aux impétrants, Salifo Tiemtoré leur a rappelé que « nous sommes dans un contexte de plus en plus rude où la compétitivité devient la règle d’or et où la qualité des ressources humaines est ressentie comme une condition de survie ».

Il a pour cela remercié tous ceux qui œuvrent chaque jour à donner aux millions de jeunes et d’actifs burkinabè de nouvelles opportunités de formation professionnelle.

DCPM/MJPEE

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